Les gens (...) s'imaginent que la guerre est seulement un gigantesque match de boxe auquel ils assistent de loin, grâce aux journaux. Mais cela n'a aucun rapport. C'est une maladie qui quand elle semble conjurée sur un point reprend sur un autre.

(La gente s'immagina che la guerra sia soltanto un immenso match di pugilato cui si assista da lontano, grazie ai giornali. Nient'affatto. La guerra è una malattia, che, quando sembra scongiurata da un lato, riattacca da un'altra.)

Marcel Proust
Le Temps retrouvé
Gallimard, Paris, 1927, TomeVIII-1, 135
M. de Charlus pendant la guerre..., Chapitre deuxième

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